Il leur répondit : "Prenez-moi et jetez-moi à la mer, et la mer se calmera, car je sais bien que c’est à cause de moi que cette grande tempête s’est déchaînée contre vous."
Jonas 1:12 (BDS)
Ce passage me fait comprendre exactement ce que Dieu attend de nous, reconnaître nos erreurs et en accepter les conséquences. La demande de Jonas ne doit pas être interprétée comme une réalité désespérée de sa part ou comme un manque de foi en Dieu mais comme une acceptation de son erreur. Il s’agit plutôt d’une confiance absolue en Dieu. Sachant qu'il ne pourrait jamais échapper à la volonté de Dieu de l'utiliser pour le repentir de Ninive, il a préféré sauver la vie des gens à bord du bateau. Jonas savait aussi que Dieu ne le laisserait pas mourir ainsi.
Pourquoi était-il convaincu que le jeter à la mer calmerait la tempête? Parce qu'il savait que la main de Dieu était derrière elle. Parfois, une erreur de notre part, un péché quelconque peut faire souffrir de nombreuses personnes autour de nous, comme un mari adultère par exemple. Par une simple action. il blesse sa femme, ses enfants, ses parents et les parents de sa femme qui lui ont fait confiance pour lui confier leur fille. Vous voyez les dégâts qu’un simple acte peut causer dans la vie de nombreuses personnes en vous livrant à un moment de plaisir.
J'aime ce passage trouvé dans Hébreux 12, verset 6: "Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils." En évitant, avec l'aide du Saint-Esprit, de vivre selon les désirs de votre chair, vous épargnerez la douleur à ceux que vous aimez. Mais si dans votre faiblesse vous tombez, si vous êtes prêt à reconnaître vos péchés et à accepter le châtiment de Dieu, non seulement vous serez pardonné, mais Dieu restaurera aussi sa relation avec vous comme un père qui aime son fils. N'ignorez pas votre péché et ne le cachez pas, mais admettez-le et confessez-le, car Dieu est fidèle et juste pour vous pardonner et vous purifier.
Que la grâce et la paix de Dieu soient avec vous tous.
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